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Sols

SOLS

Bois et béton restent les matériaux les plus sollicités pour rénover ou construire dalles et planchers d’assise destinés à recevoir un revêtement décoratif. La qualité du bois permet parfois de laisser des lames d’un plancher apparentes. Les sols en béton, comme celui d’un garage, peuvent être peints.

BETON

Les dalles de sol des rez-de chaussée sont depuis longtemps réalisées en béton, mais l’usage de ce matériau pour les planchers d’étage est un principe acquis depuis peu. Pour couler une dalle en béton, la pose d’un film hydrofuge et d’un isolant se révèle incontournable. Dans les constructions anciennes, la dalle repose souvent directement sur une couche de matériaux de blocage étalée au sol au niveau du décaissage. La construction d’une dalle en béton pour un plancher d’étage fait appel à deux méthodes distinctes, à poutrelles et hourdis ou à prédalles en béton armé. Enfin sachez que si le béton est un matériau de construction résistant et durable, sa production fait appel à des technique bien peu écologiques.

Sol en béton

La construction d’un sol en béton distingue deux méthodes de travail; la plus traditionnelle fait appel à des larges prédalles en béton précontraint, la plus moderne utilise des poutrelles de béton armé et des hourdis ou entrevous en bétons. Chaque méthode offre ses avantages et ses inconvénients; la première, bien que rapide à mettre en oeuvre, est inadaptée à certains travaux de rénovation; la seconde, plus polyvalente, exige un temps de séchage relativement long avant de pouvoir fixer un revêtement de sol.

Plancher en prédalles

Comme leur nom le suggère, les prédalles forment de grands éléments en béton armé ou précontraint assemblés entre des murs porteurs pour former la structure d’un plancher. Les prédalles sont des éléments préfabriqués, disponibles en différentes tailles, selon les impératifs des ouvrages à réaliser. Largement sollicitées dans la construction des dalles d’étages des immeubles modernes, les prédalles simplifient la mise en oeuvre de grandes portées de planchers tout en offrant une résistance incomparable. Comme les poutrelles béton et les hourdis, les prédalles devront être adaptées aux exigences de votre maison; en fonction de ces critères, seul un professionnel du BTP sera en mesure de déterminer la qualité et la quantité nécessaires à la mise en oeuvre de ce projet.

Plancher à poutrelles et hourdis

Ce système utilise des poutrelles précontraintes et des entrevous ou hourdis pour former la structure du plancher. Au rez-de-chaussée l’assemblage poutrelles/hourdis s’apparente à celui d’un plancher suspendu; les poutrelles prennent appui à chaque extrémité sur les murs porteurs. La résistance des matériaux facilite la réalisation de grandes portées de plancher sans ajout de support. Selon le profil des entrevous la pose peut être envisagée à sec, entre les poutrelles avec jointoiement avant application d’un mortier de ragréage. 

Schéma de principe d'un plancher d'étage à poutrelles et hourdis
Dalle en étage
Schéma de principe d'un plancher à poutrelles et hourdis sur terre plein
Dalle en rez-de-chaussée

Plancher-dalle

La réalisation d’un plancher-dalle lors de la construction d’une maison est relativement facile, dans la mesure ou la libre circulation autour de la dalle permet de surfacer aisément le béton. Tout se complique dès lors qu’il s’agit d’intervenir dans l’enceinte même de la maison. Couler et surfacer le béton en travaillant à vue n’a rien de très compliqué, mais il en va autrement dès qu’il s’agit de coffrer et de mettre à niveau une dalle destinée à recevoir un revêtement de sol. Pour obtenir une chape parfaitement plane et lisse, la finition des sols béton fait généralement appel à la mise en oeuvre d’un enduit de ragréage, mélangeant sable et ciment à raison de trois volume de sable pour un volume de ciment. La solution consiste à utiliser un enduit prêt à l’emploi, à prise rapide. Autre option à privilégier pour rénover un sol béton irrégulier, le mortier de ragréage , également utilisé pour exécuter des reprises en forte épaisseurs.

 

Surfaçage du sol

Lors de travaux de rénovation exigeant d’abattre une cloison pour agrandir une pièce par exemple, une mise à niveau du sol peut être indispensable. Pour mettre à niveau des sols béton adjacents, l’utilisation d’un mortier de ragréage ou d’un mortier autolissant, selon l’épaisseur de la reprise à réaliser sera nécessaire. Si la surface comprend un dénivelé important, le maintien de la différence de niveau sera à envisager et la création une marche deviendra nécessaire.  Dans le cas d’une différence de niveau relativement faible, une légère pente sur toute la surface bétonnée suffira.

Schéma de principe d'un plancher dalle sur terre plein
Plancher-dalle en béton
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Pratiquer une ouverture dans un mur

PRATIQUER UNE OUVERTURE DANS UN MUR

Avant d’abattre ou de pratiquer une ouverture dans un mur, il convient de savoir si ce dernier est un mur porteur ou non. Inutile, en effet, de soutenir la structure située au-dessus d’un mur non porteur, mais un étayage reste indispensable si vous souhaitez ouvrir partiellement un mur maçonné. En présence d’un mur porteur, les structures au-dessus du mur seront soutenues durant toute la durée des travaux et la pose d’une porte ou d’un linteau sera indispensable. Un spécialiste est recommandé pour ce type de travaux. 

COMMENT RECONNAITRE UN MUR PORTEUR

Un mur porteur est une des pièces maîtresses de la structure d’une maison; il supporte le poids des planchers et des plafonds, parfois une partie de la toiture. Un mur non porteur reste une cloison de séparation et ne joue aucun rôle de soutien majeur. La qualité d’un mur, à ossature bois ou maçonné ne détermine en rien sa nature de mur porteur ou non. Des lambourdes de plancher ou des solives de plafonds fixés perpendiculairement à un mur ne signifient pas forcément que le mur en question supporte leur poids. Un mur de rez-de-chaussée placé dans l’alignement exacte d’un mur étage peut éventuellement indiquer que le mur soit porteur. Au niveau des combles, repérez les points d’appuis des principales pièces de charpente au sommet des murs extérieur. 

 

CREER UNE OUVERTURE DANS UN MUR A OSSATURE BOIS

Si vous souhaitez créer une ouverture dans un mur porteur, consultez un spécialiste.

Procédure de découpe d’un mur porteur

Le plafond sera supporté par des étais positionnés de chaque coté du mur, a l’aide de barres de soutènement perpendiculaires aux solives. Un des montant de l’ossature sera utilisé pour délimiter un des côtés de l’ouverture. Après la localisation des câbles et canalisations dans les doublages, les montants et traverses de l’ossature seront sciés puis évacués. Un linteau bois prendra appui au sommet des étançons latéraux.

Procédure de découpe d’un mur non porteur

Inutile d’étayer. l’ouverture sera découpée à la dimension souhaitée puis   une traverse de bois brut sera insérée au sommet du cadre, entre les montants découpés. Au besoin, un nouveau montant sera positionné pour fermer le cadre de l’ouverture.

Schéma de principe d'une ouverture dans un mur porteur à ossature bois

 

CREER UNE OUVERTURE DANS UN MUR MACONNE

Que le mur soit porteur ou non, le choix du linteau reste une affaire de professionnel, confiez cette mission à un architecte. 

Procédure d’ouverture d’un mur maçonné

Une fois les étais en place, l’espace nécessaire à la pose du linteau sera dégagé à la massette et au ciseau à brique, puis le calage du linteau, ici une poutrelle IPN, sur des plots de mortier. Après séchage du mortier, les étais seront retirés ainsi que les barres de soutènement. La partie restante de l’ouverture sera découpée à la massette et au ciseau à brique ainsi qu’à la meuleuse d’angle. 

 

 

 

Schéma de principe d'une ouverture dans un mur porteur maçonné
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Les murs & plafonds

LES MURS & PLAFONDS

Éléments clés de la structure d’une habitation, murs et plafonds autorisent pourtant toute liberté en matière de créativité. En vous aidant à mieux comprendre les qualités et les propriétés de ces différents éléments, cet article vous permettra de mener à bien votre projet, en optant pour les solutions les plus appropriées.

TYPES DE CONSTRUCTION

Il faut connaître la façon dont les murs et plafonds viennent s’intégrer à la structure, ainsi pour simplifier, on distingue les plafonds à ossature bois de ceux à structure béton et les murs creux des murs pleins, porteurs ou non porteurs. Les murs et plafonds peuvent faire l’objet de multiples finitions.

 

ANATOMIE DU PLAFOND

Les illustrations suivantes mettent en évidence la structure de base des plafonds à ossature bois et béton. À chaque plafond est associé le type de finition qui lui correspond. Ceux à ossature bois de facture traditionnelle restent toujours d’actualité. L’ossature est formée de solives formant un appui au plancher d’étage et un support de fixation aux éléments de finition du plafond. Les plafonds à structure béton se présentent sous différentes formes. Généralement sollicités dans les habitations modernes, leur popularité n’a cessé de grandir avec la généralisation du béton dans le bâtiment.

 

ISOLATION ET FINITIONS

La gamme des matériaux utilisés pour les finitions de plafonds ou de murs regroupe de nombreux produits. En effet, les plaques de plâtre offrent plusieurs épaisseurs et densités afin de rendre les surfaces plus résistantes ou conformes aux nouvelles normes en vigueur dans le bâtiment.

 

QUESTIONS DE SOLIVES

Poutres et solives sont utilisées pour remplir des fonctions similaires. On désigne sous le terme de solives ces éléments relativement peu espacés qui s’alignent parallèlement au plafond. Traditionnellement en bois, les solives laissent de plus en plus place à des poutrelles d’acier IPN au profil en double T. Par souci esthétique, les solives en bois restent souvent apparentes, mais rien ne vous empêche de les revêtir de plaques de plâtre avant application d’une finition.

Les poutrelles d’acier sont généralement enfermées dans un coffrage en plaques de plâtre avant application d’une finition.  Les plaques sont fixées à des Cales de bois insérées dans le profil des poutrelles. Les linteaux s’apparentent à des solives, mais assurent une fonction différente en supportant le mur au-dessus de l’ouverture d’une porte ou d’une fenêtre. Réalisés en toutes sortes de matériaux, leur taille et leur résistance sont fonction de la largeur de l’ouverture.

 

PLAFOND TENDU

Le plafond tendu offre aujourd’hui au particulier une solution originale en matière de rénovation ou de décoration, il  a été conçu à l’origine pour les espaces de bureau La technique permet de masquer les défauts d’un plafond existant et de faire passer câbles électriques et canalisations sans encastrement. Le plafond tendu est constitué d’une feuille ou d’une toile le plus souvent en polyester enduit de polyu, tendue à Chaud ou à froid avant d’être ancrée sur des profilés fixés à hauteur souhaitée sur tout le périmètre de la pièce.  Imperméable, imputrescible, ininflammable, le matériau permet, de plus, d’améliorer le confort acoustique et thermique de la pièce dans laquelle il est installé. Toiles et PVC se déclinent en différents coloris et finitions, mate, satinée, laquée ou métallisée, adaptés à toutes les pièces de la maison et à tous les styles d’intérieur. 

Parmi les avantages de ce système, on retiendra la facilité mais aussi la rapidité de pose et de démontage, la facilité d’entretien. Un nettoyage à l’alcool à brûler tous les 2 à 5 ans dans les pièces salissantes comme les cuisines, par exemple, sans oublier la possibilité d’intégrer au plafond accessoires d’éclairage (spots encastrés, par exemple) ou de climatisation. En règle générale, ce type de produit bénéficie d’une garantie décennale.

Plafond à ossature bois

Nature du bois et taille des solives sont liées à l’âge du plafond et à sa fonction, un plafond supportant un plancher d’étage doit être plus résistant. Les cales fixées à l’angle des solives assurent la liaison et la cohésion de l’ensemble.

Illustration d'un plafond à ossature bois
Plaques de plâtre et plâtrage

Les plaques de plâtre sont directement fixées aux solives, les joints sont masqués par une bande couvre-joint avant application d’un plâtre de finition sur toute la surface.

Illustration de plaques de plâtre recouvertes d'une bande couvre-joint et d'un enduisage intégral
Plaques de plâtre et enduit 

Les joints entre les plaques de plâtre sont masqués par une bande couvre-joint, les tris de fixation sont rebouchés à l’aide d’un enduit de rebouchage. 

Illustration de plaques de plâtre recouvertes d'une bande couvre-joint
Lambrissage

Des lames de bois jointes sont fixées perpendiculairement, à même les solives, pour habiller le plafonds d’une finition bois.

Illustration d'un plafond en lambris bois
Lattis et plâtre

Une finition autrefois très répondue. De fines lattes de bois fixées côte à côte perpendiculairement aux solives sont recouvertes d’une couche de plâtre traditionnel à base de chaux.

Illustration d'un plafond traditionnel à base de chaux sur lattis bois
Plafond en béton et finitions

Le béton peut être utilisé de différentes façons lors de la mise en oeuvre d’un plafond. Ce profil de plafond à poutres et parpaings reste le plus répandu.

Illustration d'un plafond en béton
Lattes, plaques de plâtre et plâtrage

Des lattes de bois fixées au béton sont habillées de plaques de plâtre. Les joints sont masqués avant application d’un plâtre de finition sur toute la surface.

Illustration d'un plafond en plaques de plâtre sur lattes bois
Profilés métalliques, plaques de plâtre et plâtrage 

Des profilés métalliques jouent le même rôle que les lattes de bois. Les plaques de plâtre une fois fixées sont recouvertes de plâtre.

 

Illustration d'un plafond en plaques de plâtre sur ossature métallique
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Rénover un plafond

RENOVER UN PLAFOND

Vous souhaitez installer un plafonnier, positionner une trappe d’accès aux combles ou rénover un plafond trop ancien? Parmi les trois méthodes présentées ici, à vous de choisir la plus adaptée à vos besoins. N’envisagez aucun projet sans en évaluer les conséquences sur le plan structurel. Les conseils d’un spécialiste vous aideront à décider, par exemple, s’il convient ou non de remplacer toutes les solives d’un plafond déformé. La rénovation d’un plafond peut être l’occasion de procéder à une isolation thermique ou phonique. Réfléchissez aux finitions et, si nécessaire, utilisez des plaques de plâtre adaptées à votre projet.

 

AMENAGER UNE TRAPPE D’ACCES

Une trappe d’accès aux combles permet d’inspecter la charpente et donne accès à un espace de rangement supplémentaire. qu’il s’agisse de créer une ouverture ou de déplacer une trappe, pensez avant tout à l’usage requis et à la sécurité exigée.

Positionner l’ouverture 

Tenez compte de l’angle formé par l’échelle d’accès une fois dépliée; assurez-vous de pouvoir replier et déplier l’échelle sous toiture et de disposer d’une hauteur suffisante sous toiture; ne placez pas la trappe à proximité d’un escalier. Arrangez-vous pour n’avoir à scier qu’une seule solive, sachant que cette opération affaiblit la structure.

 

Installer une échelle d’accès

Le profil de découpe de la trappe dépendra du type d’échelle utilisée. Si vous souhaitez accéder aux combles à l’aide d’un escabeau, aménagez une trappe fermée par un simple panneau reposant sur des sections de butoirs de cadre. Pour installer une échelle fixe, équipez la trappe d’une charnière et tenez compte des spécificités de l’échelle. 

Schéma de principe d'un plafond à structure bois incluant une trémie d'escalier

 

 

RENOVER UN PLAFOND PLATRE A LATTIS

En présence d’un plafond trop abimé, la première option consiste à l’abattre ou bien à opter pour l’une des solutions ; L’entoilé ou créer un faux plafond.

 

ABAISSER UN PLAFOND

Pour rénover un plafond trop abimé, une des solutions consiste à créer un nouveau plafond sous le premier. Vous éviterez ainsi tous les désagréments liés à la démolition du plâtre d’un plafond.

 

 

 

Schéma de principe d'un faux plafond composé de poutres, solives bois et plaques de plâtre

FAUX PLAFOND A NIVEAU SUR OSSATURE METALLIQUE

Structure porteuse à l’aide de profilés fixés aux solives existantes, puis habillage par plaques de plâtre

Schéma de principe d'un faux plafond en plaques de plâtre sur ossature métallique

PLAFOND SUSPENDU

Ce type de plafond modifie le volume d’une pièce et permet de travailler l’éclairage aussi bien que l’isolation acoustique et thermique. Sa réalisation exige la suspension d’une structure bois ou métal au plafond d’origine, avant la pose de dalles.

Schéma de principe d'un faux plafond suspendu
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Les travaux…une affaire de pros

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LES TRAVAUX...UNE AFFAIRE DE PROS

Vous hésitez à entreprendre certaines tâches et vous pensez qu’elles sont affaires de professionnels ? Les indications suivantes vous aideront à cerner les compétences de chacun et, ce faisant, à vous guider dans la sélection du spécialiste ou de l’artisan le plus à même de répondre à vos attentes. À vous, ensuite, de dénicher les meilleurs d’entre eux!

Suivez les recommandations de votre entourage et n’hésitez pas à solliciter plusieurs artisans si nécessaire avant d’arrêter votre choix.

Quant à la facture finale, elle doit correspondre au travail réellement effectué et au montant initial du devis.

CHOISIR UN PROFESSIONNEL

Consultez votre entourage et suivez ses recommandations.

Exigez un devis écrit et un descriptif détaillé des travaux.

Vérifiez que le chauffagiste ou l’électricien sollicités ont bien les agréments requis.

Allez voir sur place, si possible, les réalisations antérieures de l’artisan auquel vous faites appel.

Demandez à voir des échantillons des matériaux qui vont être utilisés.

Consultez-nous en cliquant ici.

Architecte

Vous souhaitez déposer un permis de construire? L’architecte se chargera de dessiner les esquisses et les plans nécessaires aux travaux de construction. À vous de négocier avec lui le montant de ses honoraires. Un contrat écrit stipulera clairement l’étendue de sa mission, les modalités de sa rémunération (au forfait, au pourcentage du coût des travaux ou à la vacation horaire), le mode de règlement, les délais à respecter et les assurances légales souscrites.

Bureau d’études

Sous cette dénomination se cache un groupement d’ingénieurs qui prennent en charge l’étude, la conception et le suivi des travaux concernant la structure d’une construction. Souvent consulté par l’architecte lors de la  réalisation des plans, le bureau d’études propose aussi des solutions techniques sur le chauffage le mieux  adapté  à votre  maison et  sur  l’isolation  qui  lui  correspond, par exemple; il peut également vous conseiller des artisans.

Couvreur

En règle générale, la mission d’un couvreur se limite, dans un premier temps, à la préparation et à la pose de matériaux de couverture comme les tuiles, les lattes et voliges ou le feutre avant les finitions au mortier. Le menuisier charpentier s’attache de son côté aux éléments porteurs de la toiture. Dans un second temps, le couvreur a pour responsabilité de  poser l’ensemble des égouts de toit qui permettront l’évacuation des eaux de pluie. L’estimation et le coût de revient de la prestation d’un couvreur sont difficiles à estimer précisément. Ainsi, les conditions météorologiques peuvent retarder l’avancement du travail et, par répercussion, entraîner l’augmentation du prix de location d’un échafaudage. Enfin, veillez à ce que tous les matériaux choisis soient mentionnés sur le devis du couvreur.

Électricien

Un ouvrier spécialisé dans la conception, l’installation et la réparation des équipements électriques. Exigez les services d’un électricien agréé faisant appel à des matériels et des techniques conformes à la réglementation en vigueur (norme NF C 15-100).

Entrepreneur

Si les grandes entreprises en bâtiment salarient des équipes d’ouvriers regroupant différents corps de métier, les petits entrepreneurs font généralement appel à la sous-traitance pour l’exécution d’une partie des travaux liés à la construction.

Si l’entrepreneur général est souvent lui-même un artisan, spécialisé dans la maçonnerie ou la menuiserie, par exemple, il peut se charger de mener à bien l’ensemble du projet. Avant de vous engager, exigez un devis descriptif détaillé, précisant la nature des travaux à effectuer, et convenez avec l’entrepreneur d’un prix forfaitaire ou révisable.

Maçon

Au-delà du simple travail d’assemblage de briques ou de parpaings, l’artisan maçon peut assurer la mise en œuvre de constructions à base de matériaux plus traditionnels, comme la pierre, ou la réalisation d’ouvrages très spécialisés, des fenêtres à meneaux, par exemple. En dehors de forfaits établis pour la réalisation d’ouvrages bien spécifiques, les tarifs pratiqués obéissent généralement à un barème tenant compte de la nature des travaux, du coût des matériaux, de la surface et du temps requis.

Maître d’œuvre

Vous souhaitez faire construire ? Choisissez un constructeur ou un entrepreneur qui se chargera du suivi et de la bonne exécution des travaux par les différentes entreprises placées sous ses ordres; lui seul assurera la liaison entre vous et les intervenants du projet. Un architecte ou un conducteur de travaux pourra faire office de maître d’œuvre, mais si l’ampleur du chantier exige la présence d’un professionnel assurez-vous que ce dernier possède l’expérience et toutes les compétences requises en la matière.

Menuisier et assembleur

Alors qu’un assembleur se charge du montage d’éléments sur mesure, comme les portes ou les fenêtres, un menuisier a pour tâche d’intégrer ces mêmes éléments dans votre intérieur ou encore d’intervenir dans certains domaines de la construction. Un bon menuisier peut apporter une aide précieuse dans l’exécution de tâches complexes, comme la fabrication d’un meuble de cuisine spécifique. Enfin, si vous confiez un travail à un assembleur, une commande de fenêtres par exemple, veillez à formuler précisément vos demandes et exigez que ce dernier mentionne clairement sur son devis le type de bois utilisé, sachant que le prix et la qualité du produit fini en dépendent.

Peintre et décorateur

Outre son rôle de conseil, un décorateur professionnel prendra en charge toutes les questions relatives aux revêtements muraux, de la peinture au papier peint, en passant par le carrelage. L’emploi d’un décorateur professionnel constitue un gage de qualité en matière de finition; il est un atout non négligeable, notamment pour la pose de revêtements onéreux. S’il n’est pas aussi décorateur, le peintre a la charge des travaux de peinture extérieurs. Veillez à ce que le devis mentionne le nombre de couches, la qualité et le type de peinture utilisée.

Plâtrier

Cet ouvrier spécialisé de second oeuvre a pour mission d’enduire murs et plafonds à l’extérieur comme à l’intérieur, mais se charge également de réaliser ornementations et enduits texturés décoratifs. Le prix annoncé dans son devis doit faire état d’un nombre de couches à appliquer. 

Ses services peuvent englober certaines tâches annexes, comme la découpe et la pose de plaques de Placo-plâtre avant finition. Si quelques entreprises proposent un large éventail de prestations, d’autres plus spécialisées limitent leurs interventions à certains domaines, comme la réalisation de corniches, de moulures ou encore d’enduits texturés.

Plombier et chauffagiste

Des professionnels aux activités souvent complémentaires qui, pour l’installation, la mise en service ou la maintenance d’une installation de chauffage au gaz, doivent impérativement posséder l’agrément PGN-PGP. Les travaux courants de plomberie, comme l’installation d’une baignoire ou de W-C, sont quant à eux soumis à moins de contraintes.

Un artisan plombier peut également prendre en charge les travaux concernant les gouttières, les noues ou encore le remplacement de canalisations en PVC ou Fonte.

Poseur de revêtement de sol 

Les entreprises spécialisées dans ce domaine peuvent satisfaire toutes les demandes, du simple ragréage de sol à la vitrification de parquet massif. Renseignez-vous sur l’étendue des compétences de l’entreprise sollicitée avant de vous engager. Vous pourrez également faire appel aux services d’un poseur de revêtements souples, d’un carreleur ou d’un parqueteur.

Poseur-installateur

Cette dénomination englobe tous les professionnels proposant à la fois un produit et un service d’installation. Qu’il s’agisse de fenêtres, de portes de garage, de stores ou de cuisine équipée, vérifiez toujours que le produit livré correspond au produit réellement acheté; soyez encore plus vigilant lorsque l’installation exige l’intervention de différents spécialistes. Un cuisiniste devra être en mesure de mettre à votre disposition menuisier, plombier, électricien, chauffagiste, décorateur et carreleur… Un storiste se contentera de vous livrer le produit et de faire appel à un simple poseur qui se chargera de la partie installation et fixation.

Terrassier

Avant  la  construction,  les  terrassiers déblaient le terrain, établissent les fondations, creusent les tranchées d’évacuation, délimitent les voies d’accès et procèdent de façon générale à tous les travaux préparatoires à l’édification d’un ouvrage.

Rarement installés à leur compte, les terrassiers sont le plus souvent employés par une entreprise de construction. Le travail de déblaiement accompli en une journée par un terrassier et sa pelleteuse peut représenter un gain de temps et d’argent non négligeable.

 

PAIEMENT ET SUPPLEMENT

Évitez de payer d’avance les artisans chargés de petits travaux. Ne réglez la facture qu’une fois le travail achevé et conforme à vos attentes. Concernant les réalisations plus importantes, la règle veut que le paiement soit échelonné au fur et à mesure de l’avancée des travaux; à ce propos, il convient de définir des étapes claires et précises, comme l’achèvement des fondations, l’élévation des murs, la mise hors d’eau, etc. L’entrepreneur peut parfois exiger une avance; cet acompte fait office de dépôt de garantie et lui permet de passer commande des matériaux. Le solde est versé à l’achèvement des travaux. Tout supplément par rapport au prix initialement fixé sur le devis devra faire l’objet d’un accord écrit entre l’entrepreneur et le maître d’ouvrage, commanditaire des travaux.

 

PERMIS DE CONSTRUIRE ET AUTORISATION DE TRAVAUX

Le permis de construire est une autorisation délivrée par la Direction départementale de l’Équipement (DDE) en vue de la réalisation de travaux dans le respect des règles d’urbanisme. Tous les travaux exécutés sur les constructions existantes, lorsqu’ils ont pour effet d’en changer la destination, de modifier leur aspect extérieur ou leur volume, ou de créer des niveaux supplémentaires, exigent l’obtention préalable d’un permis de construire.

Le délai  d’instruction  d’un permis de construire est généralement de deux mois. La demande d’autorisation de travaux, qui sera déposée à la mairie de votre commune, ou de celle où sera réalisé le projet de construction, concerne des travaux de moindre importance: une extension de moins de 20 m², un ravalement de façade ou encore le percement d’une fenêtre.

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Le doublage

LE DOUBLAGE

Les différentes pertes d'énergie d'une maison non isolée

Les systèmes de doublage permettent d’assurer l’isolation thermique et également l’isolation acoustique d’un logement.

Pour doubler et isoler vos murs par l’intérieur, vous devrez choisir entre trois techniques, le montage avec ossature, le panneau complexe collé ou la contre-cloison maçonnée. Le choix vous sera en partie dicté par un bon diagnostic de l’existant mais aussi par vos besoins. Car connaître les avantages et les inconvénients de chacune de ces techniques va vous permettre d’opter pour la solution la mieux adaptée à votre projet. Pour le choix des matériaux, c’est en fonction des performances souhaitées, de votre budget et de la solution technique retenue que vous vous déciderez.

 

LE DOUBLAGE COLLE

Schéma de principe d'un doublage collé

La rénovation de son intérieur par la mise en place de  doublage collé est une solution d’isolation des murs par l’intérieur, constituée de plaque de plâtre et d’un isolant en polystyrène expansé (PSE) 100 % recyclable. Sa performance thermique permet de réduire la consommation énergétique du foyer. Il existe des doublages dotés de caractéristiques spécifiques pour chacun de vos besoins : Doublissimo® Perfomance pour l’isolation acoustique, Placomur® DuoPass Marine pour les pièces humides, c’est important à savoir lorsque l’on se demande quelle colle choisir pour coller une plaque de plâtre Placo®.

Le doublage collé est la solution parfaite pour choisir quelle colle pour coller une plaque de plâtre Placo® ainsi que pour isoler un mur régulier. Le mur doit être sain, sec, dépoussiéré et sans trace de graisse. Le faux aplomb ou les irrégularités de la paroi ne doivent pas dépasser 15 millimètres. Au-delà de cette épaisseur, la paroi est considérée comme irrégulière et doit alors bénéficier du système de doublage Placostil®.

 

LE DOUBLAGE SUR OSSATURE METALLIQUE

Schéma de principe d'un doublage sur ossature métallique

Applicable dans tous les cas de figure, c’est la solution la plus efficace pour éviter les ponts thermiques, grâceà un passage des réseaux électriques et des tuyauteries facilité. Cette technique s’impose si le mur est dégradé ou présente un faux aplomb. L’ossature se compose de lisses horizontales fixées au sol et au plafond, de fourrures verticales et horizontales et d’accessoires rupteurs de ponts thermiques, sur lesquels l’isolant est embroché.

 

LA CONTRE-CLOISON MACONNEE

Schéma de principe d'une contre-cloison maçonnée
Pour ceux qui préfèrent les travaux de maçonnerie et les finitions à base d’enduit, il existe une troisième solution: doubler le mur à l’aide d’une contre-cloison maçonnée d’une épaisseur de 5 cm emprisonnant l’isolant. Le prix de revient de cette solution est, quant à lui, plus élevé que les autres doublages.

 

  

RESUME

LES POINTS FORTS

L’isolant, sain et propre, offre l’avantage d’être léger et facile à mettre en œuvre.

Il existe en différentes épaisseurs pour atteindre le niveau de résistance thermique R recommandé.

Les dimensions des panneaux sont étudiées pour être posés sans raccord horizontal et pour réduire au minimum les joints et les risques de ponts thermiques.

LES POINTS FAIBLES
Réduction de la surface habitable, un inconvenant non négligeable vu le prix du mètre carré élevé dans certaines villes.
 
 
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Le chauffage électrique

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LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE

Contrairement à une idée reçue, le confort thermique ne dépend pas uniquement de la température d’une pièce, il y a d’autres paramètres que s’ils ne sont pas respectés, peuvent êtres une source d’un inconfort.

On considère qu’en hiver il faut une température entre 19° et 20° pour se sentir bien dans une habitation.

Pour que cela soit confortable, il faut que la température soit bien stable, autrement dit, qu’elle ne joue pas au yoyo, il faut aussi qu’elle soit homogène partout dans la pièce de l’habitation, il faut veiller à ce que les parois ne soient pas trop froides, ces phénomènes peuvent êtres une source d’inconfort.

Pour qu’un système soit optimal, il faut qu’il puisse chauffer l’air ambiant, les parois et les occupants de la maison.

Il faut aussi minimiser les mouvements d’air et veiller à la qualité de ce dernier.

Pour que l’air soit agréable à respirer, on recommande un taux d’hygrométrie entre 40% et 60% réparti de façon homogène dans les pièces de l’habitation.

Certain système de chauffage électrique peuvent déséquilibrer ce taux en rendant l’air plus sec à certains endroits et plus humide dans d’autres.

C’est donc en jouant avec tous ces paramètres, la stabilité et l’homogénéité de la température, le taux d’hygrométrie et les mouvements d’air qu’on peut arriver à un confort thermique satisfaisant.

Les systèmes de chauffage sont importants pour arriver à ce confort thermique, mais l’isolation du logement l’est tout autant, parfois des travaux d’isolations suffisent pour améliorer le confort thermique et dans tous les cas, une étude doit être faite avant de rénover son système de chauffage.

Il y a principalement trois systèmes de chauffage électriques;

 

Le convecteur

Illustration d'un radiateur électrique à convection

Premier système de chauffage électrique qui à vu le jour dans les années 70, il fonctionne selon le principe physique de la convection.

Il est équipé d’une résistance à l’intérieur d’un caisson métallique, au contact de cette résistance, l’air se réchauffe, étant moins dense que l’air froid il s’élève et s’échappe par le haut de l’appareil, tandis que l’air ambiant plus frais vient prendre sa place et ainsi de suite d’où le mouvement de convection.

Ce système de chauffage est loin d’être parfait, la température de la résistance grimpe jusqu’à 300°, l’air chaud qui s’échappe de l’appareil atteint facilement 100°, la température dans la pièce est stratifiée, plus chaude en hauteur de la pièce et de moins en moins chaud vers le bas, le taux d’hygrométrie se stratifie également, l’air est plus sec vers le haut et plus humide vers le bas.

 

Panneau rayonnant ou radian

Illustration d'un radiateur électrique à panneau rayonnant ou radian

Qui associe à la convection un autre phénomène physique de transfert de chaleur : le rayonnement.

Tel le soleil qui nous réchauffe par rayonnement infrarouge, rayon invisible à l’œil nue.

La résistance électrique placée à l’intérieur,  chauffe une plaque qui va rayonner à son tour, ces rayons passent à travers de petits trous de la grille de façade qui permettent de chauffer les surfaces à l’intérieur de la pièce.

Ce système produit beaucoup de chaleur à proximité, dans les premiers mètres et provoque une stratification de température et d’hygrométrie dans la pièce.

 

Radiateur à chaleur douce ou à inertie

Illustration d'un radiateur électrique à chaleur douce ou à inertie

Diffuse une chaleur douce qui évite la variation de température dans la pièce.

Le radiateur à inertie restitue de la chaleur emmagasinée de façon régulière qui donne un confort thermique régulier.

Deux types de radiateurs à inertie existent :

Radiateur à fluide caloporteur, qui contient un fluide, de l’eau mélangé à de l’antigel ou de l’huile, qui monte en température par une résistance électrique. Le corps du radiateur quant à lui est fait de fonte, aluminium, céramique ou acier. Ils sont installés individuellement et peuvent être couplés à une installation domotique.

Radiateur à double corps de chauffe, système commandé électroniquement qui peut fonctionner indépendamment, un film de chauffe en façade et un corps de chauffe en fonte à l’arrière.

Les radiateurs d’inertie sont ceux qui donnent le plus grand confort thermique parmi les systèmes de chauffages électriques, ils sont aussi performant voir plus que le système de chauffage central car l’utilisateur peut choisir la température de chaque pièce en fonction de ses besoins.

La technologie vient renforcer ce système et qu’on appellera radiateur thermostatique qui permet de régler précisément la température, moyen intéressent dans la mesure où un réglage de la température d’un degré en moins permet d’économiser 7% sur sa facture d’énergie.

Certaines versions de radiateur thermostatique permettent la détection de chute de température brutale dans une pièce provoquée par une ouverture de porte ou d’une fenêtre par exemple, provoquera un arrêt ou un fonctionnement au ralenti du radiateur.

La montée en gamme permet de trouver des radiateurs équipés de détecteurs de présence, ce dispositif s’adapte au rythme de vie de la maison, si une pièce est occupée le radiateur chauffe en mode confort, en revanche si elle est inoccupée pendant un moment, le radiateur baisse en température de façon progressive.

Il existe sur le marché plusieurs modèles et design, avec des puissances différentes allant de 500 watts à 2000 watts pour s’adapter la superficie des pièces à chauffer.

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ARTICLE

La cloison

LA CLOISON

CLOISON EN PLACO SUR OSSATURE METALLIQUE

Schéma de principe d'une cloison à ossature métallique
Cloison

L’aménagement intérieur peut nécessiter une installation de cloisons. La cloison Placostil® est une cloison de distribution qui affiche d’excellentes performances thermiques, acoustiques et offre une très bonne résistance thermique et une bonne protection incendie et répond très bien à la problématique suivante : comment monter une cloison en Placo® ? Avec Placostil® pour vos cloisons intérieures, soyez sûrs du résultat. 

  • Les systèmes de cloisons à ossature métallique sont mis en œuvre comme des cloisons de séparation intérieures non porteuses qui satisfont à telle exigence d’utilisation :
    • protection contre l’incendie
    • protection acoustique
    • robustesse
    • résistance aux impacts
    • intégration des réseaux techniques

 

Constitution d’une cloison en Placo® 

Permettant de couvrir de larges surfaces, la cloison Placostil® est notamment recommandée pour ceux qui ceux demandent  comment poser une porte dans une cloison Placo® pour créer de nouveaux espaces. Celle-ci s’adapte à la plupart des ouvrages, aussi bien en rez-de-chaussée qu’en étage. Pour des sols n’acceptant qu’une faible charge (ex : combles), mieux vaudra choisir la cloison Placopan®, cloison alvéolaire trois fois plus légère qu’une cloison maçonnée. La cloison Placostil® 98/48 comporte une ossature métallique Placostil® qui sert de support aux plaques de plâtre. Les rails se fixent au sol et sur le plafond, et les montants sont vissés sur les murs. Le nombre 98 indique l’épaisseur totale de la cloison en millimètres (montant + 2 plaques de plâtre de chaque côté). Lorsque l’on s’intéresse à comment faire une cloison en Placo®, Le nombre 48 revient souvent, il désigne la largeur du montant et du rail en millimètres. De chaque côté de la cloison, deux plaques Placoplatre® BA 13 ou Placo® Phonique BA 13 décalées et vissées l’une sur l’autre, forment les parements.

 

CLOISON EN CARREAUX DE PLATRE

Nous privilégions ce matériaux notamment pour les cloisons de cuisine, de salle de bains ou de toilettes.

 

Description de l’ouvrage

Les applications

Les carreaux de plâtres s’utilisent le plus souvent pour des séparations de cuisine, de salle de bain ou de toilettes, en raison de leur facilité de pose et de leur résistance aux lourdes charges.

Caroplatre® est un carreau de plâtre, à faces lisses, de dimensions 66 x 50 cm et d’épaisseur 5, 7 ou 10 cm. La gamme Caroplatre®, présente plusieurs versions pour répondre à tous les besoins :

  • hydrofuge pour résister à l’humidité  : cuisine, salle de bains, buanderie, etc.

  • alvéolé pour un carreau plus léger afin d’éviter, par exemple, les surcharges sur les planchers.

L’assemblage des carreaux de plâtre se fait par collage (avec les colles Placol®) et emboîtement via les tenons (languettes) et mortaises (rainures) présents sur les bords des carreaux.

 

Les points forts
  1. Incombustible, il résiste au feu et sous l’action de la chaleur ne dégage que de la vapeur d’eau.

  2. Régulateur hygrométrique, il absorbe l’humidité de l’air lorsqu’elle est excessive et la restitue lorsque l’air est trop sec.

  3. Respectueux de l’environnement et totalement recyclable.

  4. Maniable et peu encombrant, il se transporte et s’entrepose facilement.

  5. Facile à découper (à la scie), il autorise toutes les formes et toutes les créations. Il permet une multitude de travaux d’agencement, d’aménagementet de réhabilitation.

  6. Facile à poser par simple jeu d’emboîtage, il nécessite très peu d’outils.

  7. Parfaitement lisse en surface, il constitue des surfaces planes et soignées, prêtes à recevoir après un temps de séchage très court (24 à 48 heures) tout type de revêtement mural : carrelage, papier peint, peinture… 

Illustration d'un carreau de plâtre hydrofuge épaisseur 7 cm
Carreau plâtre hydrofuge
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